La grande et la petite histoire remaniées sous un mode ludique et interactif !

Spectacle historique détourné - Tout public- Catégorie A - 1h15

Frank Ferrand passeur d'histoire(s)

Frank Ferrand propose de renouer avec l’histoire autour d’un spectacle intelligent, interactif, et ludique, mais surtout pas ennuyeux !

Rire en parlant d’Histoire c’est possible et c’est la promesse séduisante que défend Franck Ferrand. Les plus grandes énigmes sont abordées : l’énigme Marco Polo, le secret de Jeanne d’Arc, le sort du cadavre de Napoléon, l’auteur Molière, le destin des derniers tsars de Russie… 

Par le biais d’un tirage au sort, le public choisit les thèmes abordés. Frank Ferrand monte avec brio un spectacle étonnant et drôle, rempli de suspens et d’intrigues et remonte l’Histoire à la manière d’une enquête policière.

La recette idéale pour combler les amoureux de la grande et de la petite Histoire

Interview 

1-      Pourquoi avoir choisi de faire un DEA d’Histoire à l’EHESS en sortant de l’IEP Paris alors que vous auriez pu vous lancer dans une autre carrière plus sécurisante ?

Depuis l’enfance, je me savais destiné à étudier l’histoire. Tout ce que j’ai pu faire auparavant n’était que gages de bonne volonté. Sitôt décroché mon diplôme de Sciences-Po, je me suis dit qu’il était temps de me consacrer, plus officiellement, à ma vieille passion ; et par la suite, à travers la rédaction d’ouvrages, je n’ai pas tardé à en faire une activité professionnelle.

2-      Votre approche de l’Histoire est ludique et didactique, vous a-t-on reproché de trop la vulgariser ?

Le rôle du vulgarisateur – j’emploie volontiers le terme de « passeur d’histoire » - me paraît plus qu’utile : nécessaire ! Il faut bien que certains fassent le lien entre les chercheurs professionnels – souvent peu doués pour parler de leurs travaux – et le public. Les qualités requises pour présenter les fruits d’une recherche ne sont pas celles qui permettent de la faire avancer… J’assume donc pleinement, sereinement le rôle qui est le mien – n’en déplaise aux esprits chagrins. 

3-       A côté de votre émission sur Europe 1, vous montez régulièrement sur les planches. Est-ce vrai que vous avez toujours rêvé d’être acteur ?

Disons que le monde du théâtre m’a tôt fasciné, et que, des années durant, j’ai ressenti une sorte de frustration à chaque fois que je voyais des comédiens s’amuser sur scène. Il faut croire que mes intuitions ne me trompaient pas puisque, monté moi-même sur les planches, je m’y sens aujourd’hui comme chez moi.